Alors que Monsieur Tableur procrastine, sans doute, accablé par sa décision d’enfant gâté à l’ego démesuré.
Monsieur tarde à nommer ministre, pendant ce temps, sans personnes aux manettes, la
gabegie des dépenses routières continue de plus belle.
Avez-vous oublié le coup des 80 km/h, les panneaux détruits puis remplacés avant de repasser aux 90, heureusement, certaines structures avaient conservé lesdits panneaux.
Les quasi-obligations de rouler à terme en électrique, les pneus neige obligatoires à nous tous, afin que les citadins puissent partir bien loin glisser aux flancs de nos montagnes bientôt sans neige. Les obligations de gérer les services administratifs depuis Internet, bientôt les paiements virtuels, comment font les fragiles seniors peu habitués aux affres d’Internet ?
Émulés par le quoi qu’il en coûte, nos stratèges locaux et territoriaux continuent de dépenser. Dans ma rue (mes premières photos datent de l’époque de la (COVID), voilà des années que des travaux sont en cours entre le remplacement des tuyaux d’eau, le passage des fibres, la pose de lampadaires restants éteins en cours de nuit, les purges de nettoyage interminables, la circulation difficile, la fermeture des commerces impactés.
Voilà que ces derniers jours ma rue est à nouveau raclée, grattée y compris les trottoirs, me reste à espérer qu’il s’agit de la pose d’un revêtement définitif.
Ma Boulangerie préférée, elle est fermée depuis une année à cause des travaux contraignant la clientèle. J’ai vu ce jeune couple aider à charger les machines reprises par le fournisseur, ce jour, mon cœur a serré très fort, de tristesse, de rage.
Dans ma ville, le tram (sur pneus) n’a plus la côte, il sera remplacé par une flotte de bus (promis en électrique, Hydrogène ou autre) encore un effet du quoiqu’il en coûte.
Je déplore aussi l’abondance de voies cyclables réalisées à grands frais (chez nous, elles sont belles, bien dans les normes) hélas, sont peu utilisées au prétexte que certains cycles, sur les portions de terre compactée, dégradent trop vite les pneumatiques . Alors, les automobilistes doivent jongler entre ces vélos, les trottinettes sur les voies devenues trop étroites.
Pour l’heure, je suis à attendre la nomination du premier de nos ministres.
C’est ce que j’en pense .
Père
JASSE.