mardi 26 septembre 2017

Père JASSE - Misères de Notre Temps!

Je suis à connaître un couple de personnes âgées qui vit chichement dans un endroit reculé de la cette France profonde qui souffre en silence.
Chaque souhait d’achat est analysé de façon collégiale quant’à sont utilité.
Même l’énergie du chauffage est comptée, par grand froid, certaines pièces restent sans chauffage bien trop longtemps.
En effet, avec un abonnement de 3kwh, il faut jongler afin de pouvoir cuisiner, laver, conserver les aliments de première nécessité, éclairer sans faire disjoncter ce maudit compteur.
En cette France profonde, vous devriez savoir que pour un simple pain, quelques courses obligées, il faut parcourir de nombreux kilomètres en campagne par tous les temps.
Alors, lorsque j’écoute les commentaires de nos Politiques qui veulent supprimer les voitures polluantes et mettre les vieux Diesels au pilon, remplacés par des véhicules électriques.
Je me pose la question suivante : comment ce couple va remplacer sa vieille 20x par une ZOE® et surtout comment va-t-il procéder pour recharger celle-ci avec un abonnement de 3kwh ?
De la théorie à la pratique il y a un pas que vous devriez franchir plus souvent Mmes et Mrs les Politiques toujours soucieux de notre bien-être, à moins que ce ne soit que le votre qui importe !
Quelle triste époque nous vivons, chaque jour plus injuste et cruelle pour beaucoup de nos contemporains !
Le Père JASSE.



samedi 9 septembre 2017

Père JASSE - Médocs !

Exceptionnellement, cette publication est commune avec les Blogs suivants :

https://claudedeperdechat.wordpress.com/
https://pere-jasse.blogspot.fr/

Pas expert de la chose mais, tout de même un peu averti par mon expérience du terrain et de la visitation fréquente et assidue de bon nombre d’entreprises de cette profession souvent décriée.
Je souhaite donner mon point de vue sur les contraintes imposées à ces établissements. Qu’ils soient producteurs de principe actif ou découvreurs fabricants de médicaments.
Comme nous tous qui travaillons pour bénéficier d’un salaire, un laboratoire doit financer ses recherches souvent longues et onéreuses afin d’obtenir, à terme une juste rémunération des ses efforts de recherche, test, fabrication sans oublier les étapes contraignantes de l’agrément.
Après un choix stratégique de la pathologie à traiter, suivant les molécules déjà découvertes ou à découvrir par ce labo, une étape très longue commence.
Sélection et vérification de l’innocuité du principe actif, tests cliniques, dosage, expérimentation animale parfois, tests d’efficacité et autres arguties commerciales.
Entre la recherche spécifique de la molécule et la mise sur le marché du médoc, souvent une décennie s’écoule.
Ces derniers jours, alors que la rumeur enfle à propos d’excipients changés sur demande des autorités concernant un produit existant. Je vous laisse imaginer les contraintes lorsqu’il s’agit le la molécule active principale.
Alors, je suis bien inquiet, en particulier concernant les recherches pour les antibiotiques de demain, les maladies orphelines aussi. Ces recherches demandent des investissements colossaux en matériels, temps et expérimentations.
J’ai la crainte en effet, qu’à force de critiques souvent infondées et trop fréquentes à leur égard, ces laboratoires renoncent à continuer leur métier de découvreur des molécules salvatrices pour l’humanité de demain.

C’est mon modeste avis… et Vous ?
Le père JASSE et CP



mercredi 6 septembre 2017

Père JASSE - Débranchons

Je vous parle d’un temps que certains d’entre-vous ne peuvent pas connaître.
De l’époque des applications informatiques de années 1980 fonctionnant sur les machines UNIX, APPLE déjà, sans oublier IBM.
(4d, Delphy, Dbase, Interbase et autres Pelorus et Catia @). @ reste valable pour toutes les marques citées.
De l’époque ou la programmation tridimensionnelle des machines numériques permettait de produire ce que nous appelions prototypage rapide, (une formation à cette technique coûtait un bras) en ces temps pourtant pas si lointains. Aujourd’hui, c’est l’impression 3D qui remplace partiellement, à l’aide d’une imprimante spécifique peu onéreuse qui dépose de la matière généralement plastique en trois dimensions.
En ces temps, les applications étaient surtout dédiées à l’industrie, la gestion en général, certaines professions médicales et para. Les fichiers étaient des index, de petites photos, des empreintes digitales, (déjà), surtout des informations nominatives et des dates.
Mais, déjà arrivaient, les réflexes symptomatiques des analystes et programmeurs à savoir, l’agitation, le stress, l’anxiété, il suffisait de regarder leurs genoux et jambes toujours agités ;
A présent, nos jeunes et moins jeunes sont addicts aux vidéo sur le Net, aux réseaux sociaux et moins sociaux aussi.
Alors, parents, vous qui pensez ne pas être à la hauteur pour maîtriser ces nouvelles technologies, vous qui attendez le fils ou la fille pour les réglages de votre Box ou de votre mobile, réagissez.
Réagissez afin de protéger vos enfants d’un fléau annoncé, eux qui restent connectés, des heures durant, dans leur bulle, expliquez les DANGERS DE CETTE BULLE.
Il y a danger pour les yeux avec les rayons surtout bleu, votre tablette est tapissée de ces diodes électroluminescentes, n’oubliez jamais, une diode de ce type est quasi une lumière cohérente, c’est à dire quasi un laser (Utilisez les lunettes de protection spécifiques qui commencent à arriver sur le marché).
Il y a danger pour le cerveau à cause des fréquences trop/très hautes des dispositifs Wi-fi.
Il y a danger surtout pour la sociabilité future de vos enfants, trop dans leur Bulle ils vivent dans un monde virtuel sans compassion, pourtant, ce n’est pas la vrai vie cela.
Si vous n’y prenez garde, une nouvelle époque façon Zola se profile, avec ses drames numériques sans doute .
Jouer à l’autruche n’est pas la solution et puis, vous n’êtes pas si bêtes, les outils numériques fonctionnent par programmation d’instructions successives à une machine sans âme. Alors, une bonne analyse de l’existant, un objectif circonstancié de la finalité et tout quidam est en mesure de programmer des actions basiques. Ainsi rassurés, vous resterez Zen et Confiants avec ces technologies dites nouvelles.

C’est mon avis… Et vous ?

Le Père JASSE

dimanche 3 septembre 2017

Père JASSE - Carte Postale

En un temps pas si lointain pour certains d’entre-nous, lors de nos voyages, vacances ou escapades de loisirs. Nous avions le devoir si ce n’est l’obligation, envers les ainés d’envoyer cartes postales, parfois courriers afin de donner des nouvelles.
Ces cartes décrivant, ci possible les lieux de vie, de passage ou bien les particularités régionales.
De nos jours, hormis les tous jeunes bambins, nos jeunes ou moins jeunes ne perdent pas de temps à rechercher la carte originale, encore moins de la poster avec quelques mots attentionnés et personnalisés.
Un clic de smartphone, un SMS ou MMS et l’affaire est dans le sac, pas de perte de ce temps si précieux pour tchatter.
Pourtant, nos anciens avaient l’habitude de conserver en bonne place et de souvent consulter ces cartes qui permettent le rêve de voyages à bon prix.
Dans quelques temps, lorsque les disques durs qui conservent nos photographies numériques seront devenus obsolètes par la faute des ordinateurs eu-mêmes dépassés par la technologie, je me demande?
Que vont penser les visiteurs, explorateurs et autres archéologues galactics venus d’autres planètes lointaines lorsqu’ils exploreront notre terre devenue inhabitable car dévastée par les guerres nucléaires qui s’annoncent? 
Que feront-ils devant un disque dur rouillé, une carte mémoire, un processeur effacés par les neutrons? 
Sans doute, les cartes postales de nos anciens pourront apporter quelques réponses.

C'est ce que j'en pense... Et vous?

Père JASSE.

mardi 29 août 2017

Père - JASSE - La Faute du Jour

Cachez cette arme que nous eussions vu.

Faute de communication, précipitation ou incompétence ?
Je ne saurai le dire, mais, assurer la protection de notre Président sans arme apparente, c’est un défi.
Ce défi, nos militaires et autres policiers vont devoir le relever, avec succès sans l’ombre d’un doute.
Pour l’heure, je souhaite à ceux-ci de ne pas oublier d’enfiler leur gilet (s’ils en ont tous un ?)
Dans l’attente de la prochaine étape, la protection rapprochée en (tongs et Marcel).
Bonne reprise à toutes et tous sous cette canicule qui perdure.

C’est ce que j’en pense… Et vous ?

Le père JASSE

samedi 19 août 2017

Père JASSE Route des Fromages

Ce jour là, le temps se dégrade au lac d’Aydat, les nuages commencent à se vider sur nos têtes.
Dépités, nous poursuivons notre route automobile en direction de St Nectaire par un itinéraire de montagne, en lacet, peu fréquenté, le paysage reste majestueux.
Nous entamons une longue descente, à mi parcours, un troupeau de vaches Montbéliardes nous précède assez rapidement, la proximité de la salle de traite motivant sans doute cette hâte.
Nous suivons le troupeau jusqu’à la Ferme de Lambres, à notre gauche, sur un parking aménagé mais, déjà bien occupé, nous garons. Il y a déjà foule.
La ferme d’aspect soigné est constituée de locaux attenants , la salle de traite proche de de celle de fabrication, séparée par la frigorie stockage puis, sur la droite du site, la boutique de vente des produits de l’entreprise ainsi que d’autres du terroir local, ladite est très propre, claire et spacieuse.
Cet établissement produit un trésor de notre Région, le St Nectaire Fermier Appellation. Les maîtres des lieux nous proposent la visite du site de production. Nous assistons à la traite réalisée dans des conditions d’hygiène très strictes. Assez mécanisée cette opération est réalisée avec un grand respect des animaux qui semblent heureux de leur sort, ici, pas de maltraitance.
La production du Saint-Nectaire fermier oblige à la fabrication dans la foulée de la traite, donc direction la salle d’élaboration, directement depuis le pis de la vache, le précieux lait passe dans un réservoir tampon puis, par une tuyauterie inoxydable arrive dans les bacs de fermentation pressurage.
Cette opération est réalisée dans un laboratoire moderne, les visiteurs n’entrent pas mais assistent derrière les vitres, climatisée, cette unité reste impressionnante de propreté, ici cuverie et outillages sont en Inox.
L’opératrice (la fromagère) reste concentrée et précise dans ses gestes, habillée de la tête au pieds des tenues réglementaires, juste ces bras sont nus, elle surveille en permanence les processus. Ici le chauffage du lait est interdit. Juste toléré, une sorte de bain-Marie permet de maintenir à 32° environ (secret de fabrication) le précieux mélange.
Je passe sur les étapes de moulage démoulage salage et séchage pour rejoindre la boutique. Nous goûtons un St Nectaire fermier de 30 jours, coupée en fines tranches, la pâte et souple, bien dense et, à la mise en bouche, c’est l’explosion de saveurs différentes mais agréables.
Quel délice ! Nous avons l’impression de sucer des fleurs de pissenlits, de bruyères de gentiane enfin, toutes les essences présentes sur les flancs de la montagne mangées par les bovins.
Grand merci aux propriétaires pour l’accueil, leur langage de terroir chaleureux et authentique. Merci aussi pour leur courage à investir beaucoup en ces temps incertains. Merci pour les emplois qu’ils créent dans cette contrée peu favorable à l’embauche des jeunes. Bonne réussite pour leur entreprise.
Merci aussi aux touristes qui se donnent la peine de comprendre, et se font conseillers de leurs proches pour les prochains achats de fromage.
En effet, ici, c’est la qualité du lait cru, la bonne nourriture authentique de nos anciens. Je pense qu’il nous vaut mieux manger moins mais, manger bon, gouttez, vous allez adopter.
Si vous suivez mon conseil, allez à la rencontre de notre terroir, visitez la Ferme de Lambres.
Voici un lien internet mais, le mieux est de la visiter pour connaître tous les secrets de cette fabrication.

C’est mon avis… Et vous ?
Le père JASSE.