lundi 6 février 2012
Père JASSE - Avis aux Candidats la suite!
Dans mon précèdent post, j'évoque la fourniture d'énergie électrique à destination d'une Acierie depuis un barrage hydraulique proche du lieu de production, cette description date de hier.
De nos jours avec les réseaux interconnectés, nul besoin de téléphoner au veilleur de service pour activer la distribution.
Pour en revenir à la sauvegarde de nos industriels encore actifs en notre hexagone et, la protection du patrimoine et du savoir-faire industriel Français.
Vous devez savoir que dans les années 40, pour ce qui est de mon usine préférée, la recherche existait déjà, nous devons à cette entreprise l'invention des fameux carbures métalliques, des accidents eurent lieu lors des phases de mise au point empiriques, four à cloche qui explose, manipulateurs défigurés, un des instigateurs du projet en perdit même un œil.
Le progrès est aussi arrivé en nos Combrailles, mis en œuvre par des hommes valeureux, au fil des ans, il a propulsé cette entreprise restée longtemps discrète aux premières loges de l'industrie aéronautique, pas seulement.
Actuellement, la production de produits sidérurgiques complexes n'a rien à envier aux techniques employées pour la fabrication des wafers de Silicium Germanium et autres matières amorphes qui permettent la fabrication de nos microprocesseurs.
Tout comme les industriels de l’électronique, les productions sidérurgiques utilisent les fours à fusion sous atmosphère neutre, les fours à diffusion contrôlée (verticaux ou horizontaux). Comme pour les process du Germanium, les ingénieurs savent éliminer les impuretés mais aussi, ils sont en mesure de doper avec des métaux rares et nobles certains parties d'un lopin pour en améliorer les caractéristiques chimiques, mécaniques ou magnétiques souhaitées par le client.
En résumé, hormis les caractéristiques dimensionnelles des installations sidérurgiques, les principes de fabrication et de mise en œuvre de ces technologies de pointe restent comparables à la production électronique.
Pour rester efficaces, les industriels doivent bénéficier d'une énergie abondante peu coûteuse, disponible à tout instant.
Une production de qualité, rigoureuse, homogène, fiable et reproductible ne peut dépendre des aléas d'une période sans vent, donc pas d'éolienne, sans soleil non plus.
Voila pourquoi, je pense que le parc électronucléaire Français a encore de beaux jours devant lui.
Je vous demande de bien observer les demandes en fourniture énergétique auprès de notre EDF© de ce grand pays qu'est l'Allemagne dans les prochains jours et, surtout dans les prochaines années. Souvenez-vous que, pour l'heure nous assumons en partie, la fourniture énergétique de son industrie lourde.
Nous avons donc des atouts pour notre propre industrie lourde, pourquoi gâcher ce potentiel.
Comme pour certains d'entre-vous, je reste convaincu qu'il nous faut d'avantage d'éoliennes, notre parc photovoltaïque doit augmenter aussi. Souvent, sur la A75, je vois passer des éléments d'éoliennes, je ne sais ou il vont mais, je sais d'où ils viennent alors, je suis triste car, pourtant, nous avons un fabricant de première qualité en notre hexagone, aurait-il des problèmes de coût énergétique pour ses fabrications ?
Au fait, ce soir, restez citoyens, modérez votre consommation électrique !
C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
N'hésitez-pas, les commentaires sont ouverts.
Le Père JASSE.
Père JASSE - Avis aux Candidats!
En cette année bien avancée déjà, bien que très occupé par mes multiples activités, je souhaite donner mes avis concernant les actualités du moment.
Tout d'abord, une pensée toute particulière aux enfants de (FUKU), obligés d'aller à l'école avec mille précautions, dans la poche, un compteur Geiger©. Contraints de comptabiliser au quotidien les doses de radiations reçues par leur corps d'ados.
Tout cela à cause d'une gestion déplorable et surtout tardive de ces graves accidents nucléaires qui resterons cas d'école.
Cette gestion calamiteuse va durablement mettre au ralenti l'industrie Nucléaire Française et Mondiale.
Pourtant, cette production me semble indispensable à notre pays.
En cette période électorale où la mode est au produire Français, ce leitmotiv sur toutes les lèvres. Je reste effaré de constater que : Ceux qui souhaitent alléger le programme Nucléaire de notre nation; Et bien, ce faisant, ils vont creuser la tombe de nos industries rescapées encore vivantes, performantes, certaines de pointe, en voici ma démonstration.
Lorsque vous entrez dans un aéronef, qu'il soit de transport ou de chasse, qu'il soit de Airbus©, Boeing©, Dassault©,ATR© et bien d'autres. Sachez que de nombreux éléments stratégiques de (Cellule, moteur, turbine, train, support nacelle et voilure, frein, pompe, hydraulique) et indispensables à l'assemblage final proviennent de France.
Les Combrailles en Auvergne fournissent la presque quasi totalité des matériaux technologiques de base (alliages réfractaires, composés frittés, alliages inoxydables, Titane et d'autres encore plus techniques).
Certaines de ces productions sont ébauchées, laminées et forgées sur place avant livraison dans le monde entier, aux constructeurs qui en assurent la finition et le montage.
En parlant de mes Combrailles, je pense en particulier, sans être exhaustif à cette usine AD que j'aime, celle qui fait vivre depuis l'après guerre un grand bassin. Je reste fier d'avoir, un temps, participé par mon expertise à l’essor de celle-ci.
Mais, hélas, il est terminé le temps, où à 20 heures, sur un simple appel du chef de four, le veilleur de nuit du barrage des Fades. Dans les minutes qui suivaient lançait toute la puissance des turbines, pour, alimenter en énergie électrique l’Aciérie et ces fours (déjà électriques) nécessitant des dizaines de Kilovolts.
Parfois, la lumière vacillait chez le particulier mais, production oblige, l'inconvénient était accepté par les populations.
C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
Père JASSE.
La suite prochainement.
dimanche 24 avril 2011
Pere JASSE - Centrales de demain!
Suite aux évènements tragiques et catastrophiques qui s’enchaînent à Fukushima, voici mes suggestions du moment, à mettre en application dés que possible.
Chapitre premier:
Désormais, à la mise en chantier de tout nouveau réacteur nucléaire, il y a nécessité impérieuse de prévoir une alimentation en eau douce et propre AUTONOME.
Chapitre deuxième:
Cette source autonome fonctionne uniquement par GRAVITE, elle est alimentée par une retenue fiable et conséquente (lac ou barrage d’altitude) exclusive à cette fonction.
Chapitre troisième:
Une tour château d’eau anti-sismique est dédiée à chaque réacteur, elle reste proche du cœur, les jonctions et dérivations aux canalisations sont impérativement souples.
Chapitre quatrième:
Une enceinte ou lac de rétention couverts doivent offrir une capacité de trois fois le volume utile du château d’eau afin de retenir les éventuels effluents pollués (cas d’accident grave).
En mode de secours redondants (défaut de refroidissement initial), l’eau est directement déversée en rivière, canal ou mer.
Pourquoi demain me direz-vous ?
Et bien, lorsque je vois et constate les tergiversations de certains, qui ne veulent pas d’éoliennes sur nos modestes montagnes à vaches.
Alors, je sais que les centrales nucléaires ont encore de beaux jours en nos contrées aussi, devant ces faits, j’espère les meilleures conditions de sécurité pour celles-ci.
C’est ce que j’en pense !
Père JASSE.
Chapitre premier:
Désormais, à la mise en chantier de tout nouveau réacteur nucléaire, il y a nécessité impérieuse de prévoir une alimentation en eau douce et propre AUTONOME.
Chapitre deuxième:
Cette source autonome fonctionne uniquement par GRAVITE, elle est alimentée par une retenue fiable et conséquente (lac ou barrage d’altitude) exclusive à cette fonction.
Chapitre troisième:
Une tour château d’eau anti-sismique est dédiée à chaque réacteur, elle reste proche du cœur, les jonctions et dérivations aux canalisations sont impérativement souples.
Chapitre quatrième:
Une enceinte ou lac de rétention couverts doivent offrir une capacité de trois fois le volume utile du château d’eau afin de retenir les éventuels effluents pollués (cas d’accident grave).
En mode de secours redondants (défaut de refroidissement initial), l’eau est directement déversée en rivière, canal ou mer.
Pourquoi demain me direz-vous ?
Et bien, lorsque je vois et constate les tergiversations de certains, qui ne veulent pas d’éoliennes sur nos modestes montagnes à vaches.
Alors, je sais que les centrales nucléaires ont encore de beaux jours en nos contrées aussi, devant ces faits, j’espère les meilleures conditions de sécurité pour celles-ci.
C’est ce que j’en pense !
Père JASSE.
lundi 28 février 2011
Père JASSE - Les quatre questions de PJ
Au vu des événements de ces derniers jours, dans ce Proche-Orient toujours aussi instable.
Il me semble urgent de répondre très vite à ces quelques interrogations.
Compte tenu que l'Europe et, par le fait, la France, vont subir un afflux massif de réfugiés en provenance de Tunisie, de Libye aussi.
Compte tenu que ce chambardement des flux migratoires va engendrer des coûts non négligeables pour nos sociétés.
Compte tenu que notre influence, je suis même tenté de dire: Notre crédibilité Politique et Militaire reste bien fragile, surtout en ce moment.
Constatant que ces afflux massifs vont perdurer plusieurs années et, affecter notre économie, notre tissus social.
Je pose donc les questions suivantes:
Les faits actuels donnent-ils aux Européens le droit, ou, une quelconque priorité concernant la gestions des ressources, les actifs miniers de ces pays en crise?
Que vont devenir à terme, les activités minières ou pétrolières laissées en sommeil, sans gestion rigoureuse?
Quelle nation hégémonique va faire main basse sur ces ressources et, faut-il que les Européens laissent s'accomplir cette opération probablement inévitable, annoncée, sans doute programmée?
Pensez-vous que cette main mise soit possiblement inéluctable sans heurts?
C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
Père JASSE.
Il me semble urgent de répondre très vite à ces quelques interrogations.
Compte tenu que l'Europe et, par le fait, la France, vont subir un afflux massif de réfugiés en provenance de Tunisie, de Libye aussi.
Compte tenu que ce chambardement des flux migratoires va engendrer des coûts non négligeables pour nos sociétés.
Compte tenu que notre influence, je suis même tenté de dire: Notre crédibilité Politique et Militaire reste bien fragile, surtout en ce moment.
Constatant que ces afflux massifs vont perdurer plusieurs années et, affecter notre économie, notre tissus social.
Je pose donc les questions suivantes:
Les faits actuels donnent-ils aux Européens le droit, ou, une quelconque priorité concernant la gestions des ressources, les actifs miniers de ces pays en crise?
Que vont devenir à terme, les activités minières ou pétrolières laissées en sommeil, sans gestion rigoureuse?
Quelle nation hégémonique va faire main basse sur ces ressources et, faut-il que les Européens laissent s'accomplir cette opération probablement inévitable, annoncée, sans doute programmée?
Pensez-vous que cette main mise soit possiblement inéluctable sans heurts?
C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
Père JASSE.
dimanche 27 février 2011
Pere JASSE - Protectionnisme.
Bonjour,
Nous savions bien que le marché du siècle ne pouvait revenir aux Européens.
Alors, ne pleurons point, avisons.
Ce qui est regrettable dans cette affaire politique navrante, c'est la perte de temps, la mobilisation pendant des mois, d'équipes entières pour rien.
Pourtant, cette parodie de libre commerce international ne semble pas inquiéter les responsables des entreprises concernées.
Pour preuve, la tentative récente de donner, quasiment, l’accès pour l'euro symbolique à un radar de quatrième génération, voire de cinquième, qui peut savoir?
Tout cela pour vendre notre merveilleux Rafale©, là aussi, ne nous leurrons pas, nous n'aurons pas le marché.
De toutes ces péripéties, nous devons retenir une seule chose, c'est qu'un petit Pays ne peut imposer sa loi technologique, même si le produit est bon, sur un marché aussi protégé que celui de l'aéronautique militaire.
Alors, conservons notre bon Rafale© comme un produit haut de gamme, améliorons-le, gardons-nous de divulguer les derniers secrets de fabrication de celui-ci.
Un jour, peut-être, certains regretteront leurs décisions, devant les exploits dans les airs de celui-ci.
C'est ce que j'en pense!
Père JASSE.
Nous savions bien que le marché du siècle ne pouvait revenir aux Européens.
Alors, ne pleurons point, avisons.
Ce qui est regrettable dans cette affaire politique navrante, c'est la perte de temps, la mobilisation pendant des mois, d'équipes entières pour rien.
Pourtant, cette parodie de libre commerce international ne semble pas inquiéter les responsables des entreprises concernées.
Pour preuve, la tentative récente de donner, quasiment, l’accès pour l'euro symbolique à un radar de quatrième génération, voire de cinquième, qui peut savoir?
Tout cela pour vendre notre merveilleux Rafale©, là aussi, ne nous leurrons pas, nous n'aurons pas le marché.
De toutes ces péripéties, nous devons retenir une seule chose, c'est qu'un petit Pays ne peut imposer sa loi technologique, même si le produit est bon, sur un marché aussi protégé que celui de l'aéronautique militaire.
Alors, conservons notre bon Rafale© comme un produit haut de gamme, améliorons-le, gardons-nous de divulguer les derniers secrets de fabrication de celui-ci.
Un jour, peut-être, certains regretteront leurs décisions, devant les exploits dans les airs de celui-ci.
C'est ce que j'en pense!
Père JASSE.
vendredi 24 décembre 2010
Pere JASSE - Bonne Pioche.
Ma contribution au débat concernant les 4x4.
Je suis à connaître un jeune couple écologiste, résidants dans une région de demi montagne, ils élèvent fort bien du reste, de magnifiques chèvres, ils vivent de la vente de leur production fromagère.
Hélas pour eux, ils utilisent un vieux Range®, poussif, crachant fumée noire, fort bruyant pourtant, ils n’ont d’autre choix pour accéder à leur ferme, dans la neige et le froid, par ce chemin si souvent évité des randonneurs à cause de sa forte déclivité, l’état mauvais de la piste, les ravines.
Je suis à connaître aussi quelques médecins, vous savez, de ces anciens, les vrais, les passionnés, ceux qui appliquent le serment d’Hippocrate qu’il vente, qu’il neige ou qu’il pleuve.
Sans 4x4, point de salut l’hiver, sur les plateaux des Combrailles, les flancs du Sancy, dans les neiges d’Aubrac ou du Cantal.
Je suis à connaître aussi quelques infirmières, elles aussi sur le terrain dès l’aube et, jusqu’à tard dans la soirée, elles affrontent les aléas climatiques, là non plus point de salut sans le 4x4, pourtant elles apportent le réconfort, le soulagement auprès des populations démunies ou isolées, le tout avec beaucoup d’abnégation.
Je suis à connaître aussi de ces braves paysans, authentiques, natures et généreux, ceux qui n’hésitent pas à aider afin d’ouvrir le chemin, remorquer, qui le médecin, qui l’infirmière, qui le laitier, qui le boulanger car, parfois, le 4x4 reste coincé lui aussi.
Alors je m’interroge, le berger doit-il abandonner la ferme, descendre à la ville pour vivre des subsides de la collectivité ?
Je reste très inquiet pour le médecin, ou l’infirmière eux qui vont devoir acheter un véhicule en supplément pour, seulement, aller dispenser les cours et formations à la ville obligée, au CHU, la Clinique ou aller à la réquisition fréquente en période de vacances?
Tout ces désagréments, provoqués par des décisions arbitraires, très certainement dictées par des manœuvres électorales. En dressant à nouveau les automobilistes les uns contre les autres, c’est un moyen bien connu, diviser pour régner mais aussi, le risque d’ouvrir encore une boite de pandore et, accentuer d’avantage les inégalités.
Alors qu’un conflit majeur risque et menace d’éclater bientôt, comme déjà en 1950 en mer de chine, il y a plus urgent comme débat. Tous ces décideurs devraient réfléchir et agir en priorité aux cas des sans-logis, aux vieux abandonnés vivants reclus, et aux nécessiteux de tous poils car, si d’aventure il n’y avait plus d’essence prochainement alors, les villageois IRAIENT, contraints et forcés, à la campagne, parcourir la montagne pour chercher les produits de première nécessité, dans la neige et le froid, sous la pluie et, à PIEDS.
Je reste à attendre, j’espère et guette la décision d’un Maire de montagne qui va enfin, un jour prochain, décréter que les véhicules de tourisme n’ont plus droit de citée dans sa commune en période de neige, une réponse du berger à la bergère, le retour de bâton de l’homme de terrain au technocrate de la ville.
A moins que d’ici là, les utilisateurs réguliers de ces engins, artisans, commerçants, agriculteurs, professions libérales et j’en passe, signifient à leurs manières leur désapprobation virulente en exigeant, par exemple, la mise au noir de toutes les routes de France en période hivernale.
En effet, n’est-il pas équitable, pour un habitant rural de notre beau pays, d’avoir un accès assuré aux voies de communications, en toutes saisons, tout comme les résidants de la ville ?
C’est ce que j’en pense ! et vous ?
PJ
Je suis à connaître un jeune couple écologiste, résidants dans une région de demi montagne, ils élèvent fort bien du reste, de magnifiques chèvres, ils vivent de la vente de leur production fromagère.
Hélas pour eux, ils utilisent un vieux Range®, poussif, crachant fumée noire, fort bruyant pourtant, ils n’ont d’autre choix pour accéder à leur ferme, dans la neige et le froid, par ce chemin si souvent évité des randonneurs à cause de sa forte déclivité, l’état mauvais de la piste, les ravines.
Je suis à connaître aussi quelques médecins, vous savez, de ces anciens, les vrais, les passionnés, ceux qui appliquent le serment d’Hippocrate qu’il vente, qu’il neige ou qu’il pleuve.
Sans 4x4, point de salut l’hiver, sur les plateaux des Combrailles, les flancs du Sancy, dans les neiges d’Aubrac ou du Cantal.
Je suis à connaître aussi quelques infirmières, elles aussi sur le terrain dès l’aube et, jusqu’à tard dans la soirée, elles affrontent les aléas climatiques, là non plus point de salut sans le 4x4, pourtant elles apportent le réconfort, le soulagement auprès des populations démunies ou isolées, le tout avec beaucoup d’abnégation.
Je suis à connaître aussi de ces braves paysans, authentiques, natures et généreux, ceux qui n’hésitent pas à aider afin d’ouvrir le chemin, remorquer, qui le médecin, qui l’infirmière, qui le laitier, qui le boulanger car, parfois, le 4x4 reste coincé lui aussi.
Alors je m’interroge, le berger doit-il abandonner la ferme, descendre à la ville pour vivre des subsides de la collectivité ?
Je reste très inquiet pour le médecin, ou l’infirmière eux qui vont devoir acheter un véhicule en supplément pour, seulement, aller dispenser les cours et formations à la ville obligée, au CHU, la Clinique ou aller à la réquisition fréquente en période de vacances?
Tout ces désagréments, provoqués par des décisions arbitraires, très certainement dictées par des manœuvres électorales. En dressant à nouveau les automobilistes les uns contre les autres, c’est un moyen bien connu, diviser pour régner mais aussi, le risque d’ouvrir encore une boite de pandore et, accentuer d’avantage les inégalités.
Alors qu’un conflit majeur risque et menace d’éclater bientôt, comme déjà en 1950 en mer de chine, il y a plus urgent comme débat. Tous ces décideurs devraient réfléchir et agir en priorité aux cas des sans-logis, aux vieux abandonnés vivants reclus, et aux nécessiteux de tous poils car, si d’aventure il n’y avait plus d’essence prochainement alors, les villageois IRAIENT, contraints et forcés, à la campagne, parcourir la montagne pour chercher les produits de première nécessité, dans la neige et le froid, sous la pluie et, à PIEDS.
Je reste à attendre, j’espère et guette la décision d’un Maire de montagne qui va enfin, un jour prochain, décréter que les véhicules de tourisme n’ont plus droit de citée dans sa commune en période de neige, une réponse du berger à la bergère, le retour de bâton de l’homme de terrain au technocrate de la ville.
A moins que d’ici là, les utilisateurs réguliers de ces engins, artisans, commerçants, agriculteurs, professions libérales et j’en passe, signifient à leurs manières leur désapprobation virulente en exigeant, par exemple, la mise au noir de toutes les routes de France en période hivernale.
En effet, n’est-il pas équitable, pour un habitant rural de notre beau pays, d’avoir un accès assuré aux voies de communications, en toutes saisons, tout comme les résidants de la ville ?
C’est ce que j’en pense ! et vous ?
PJ
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