vendredi 21 février 2025

Père - JASSE - Article expérimental sous IA


ATTENTION ! cet ARTICLE de TEST est REALISE AUTOMATIQUEMENT 

avec  l'IA de MISTRAL 

Sans doute inspiré de mon précédent Article de blog "Maltraitance".

Même ma signature a été ajoutée par Mistral.


Père - JASSE -  La Maltraitance, un Fléau à Combattre.

Chers lecteurs,


Aujourd'hui, je souhaite aborder un sujet douloureux mais crucial : la maltraitance. Que ce soit envers les enfants, les personnes âgées, ou toute autre personne vulnérable, la maltraitance est un fléau qui ronge notre société. Elle se manifeste sous diverses formes : physique, émotionnelle, psychologique, sexuelle, financière, ou par négligence. Chaque forme de maltraitance laisse des cicatrices profondes et durables sur les victimes.


La maltraitance n'est pas seulement l'affaire des individus qui la perpètrent ; elle est aussi le reflet de failles dans notre système social. Elle prospère dans l'ombre, là où la vigilance et la solidarité font défaut. Il est de notre devoir, en tant que membres d'une communauté, de rester attentifs et de ne pas détourner le regard lorsque nous suspectons un cas de maltraitance.


Les aidants, en particulier, sont souvent en première ligne pour détecter ces situations. Leur rôle est essentiel, mais il est aussi semé d'embûches. Ils doivent naviguer entre le soutien aux victimes et la nécessité de signaler les abus, tout en faisant face à des systèmes parfois peu réactifs ou inadaptés.


Pour lutter contre la maltraitance, il est impératif de renforcer les mécanismes de protection et de soutien. Cela passe par une meilleure formation des professionnels, une sensibilisation accrue du public, et des politiques publiques plus robustes. Mais cela commence aussi par chacun de nous, en étant vigilants et en ayant le courage d'agir lorsque nous sommes témoins d'actes de maltraitance.


Je vous invite à réfléchir à ce que chacun de nous peut faire pour rendre notre société plus protectrice et plus humaine. Ensemble, nous pouvons faire la différence.


Avec toute ma sympathie,

Père JASSE

Avertissement:

Prenez, je vous prie, conscience de la puissance de l'IA générative, ce n'est que le début d'une carrière prometteuse mais inquiétante.

Maltraitance



Cette grave affaire, datant mais, remise d’actualité de ces derniers jours ne m’étonne point.

J’ai en effet, souvenance d’un proche hélas un peu handicapé qui, souvent, expliquait à qui voulait bien l’entendre, ses conditions de vie dans un établissement similaire.

Lorsque nous le visitions, c’était sur rendez-vous, avec des horaires stricts, étions accompagnés par une religieuse qui nous installait dans une salle réservée à cet effet.

Le visité était alors autorisé à accéder à cette salle, là, nous papotions de banales choses, nouvelles de la famille, des proches, des cousins cousines sous la surveillance vigilante restant discrète de la préposée.

Il est vrai que la pièce d’accueil était d’aspect soigné, parquets bien cirés, voilures propres, sans pli, j’ai encore souvenance de cette bonne odeur de cire fraîche, les fauteuils rustiques mais confortables donnaient l’impression de quiétude et sérénité.

En fait, la vrai vie de ces pensionnaires était faite de labeur harassant dès matines à l’entretien de la collectivité, les soins très lourds aux plus handicapés, le ménage, la cuisine, les brimades aussi.

Après Exfiltration de cette personne, au fil du temps passant, nous eûmes beaucoup de précisions concernant les multiples obligations dans cette institution. La messe obligée plusieurs fois par jour, les repas frugaux, les menus peu variés, les laitages comptés, le fromage inconnu.

Après ces révélations nous avons, enfin, compris pourquoi cette personne avait en horreur la simple évocation du mais en grain, des pommes de terre, du poulet. Pourquoi le poulet? Et bien, du poulet, elle ne mangeait que les pattes et les ailes y compris dans la soupe.

Voici ce qu’était la vrai vie dans cet établissement, les vagabonds qui mandaient pitance avez, eux, droit au fromage, pas la croute.

Ainsi va le monde en attendant la troisième guerre mondiale, ce qui ne saurait tarder.


C’est mon avis de Père JASSE.


Document en cours d'élaboration


lundi 7 octobre 2024

Aidants pas aidés

 Aidants pas aidés.
Malgré les lois et réglementations draconiennes, la vie d’aidant n’est pas un long fleuve tranquille. Il faut savoir que gérer, administrer ponctuellement ou en permanence, sous statut de volontaire obligé ou légal, désigné par les diverses Administrations en responsabilité de cas parfois difficiles, complexes ou très particuliers reste contraignant.
La vie de ces aidants n’est pas une sinécure, parfois, trop souvent hélas, les chausse-trappes sont constantes, semée d’embûches, il faut vraiment vouloir aider, que ce soit par nécessité ou devoir, la tâche reste ardue, épuisante, décourageante aussi.
Pas aidés dans leurs tâches du quotidien, trop fréquemment empêchés par des (interlocuteurs campés dans leurs prés carrés, sans formation au dialogue et à la négociation ou encrés dans leurs certitudes parfois fausses, le manque de motivation, la crainte des conséquences de leurs dires, l’incertitude de la pérennité de leur emploi) ainsi, les aidants sans réponse pertinente restent donc en souffrance.
Mes propos illustrent la vraie vie des aidants et accompagnants. 
Voici, par ces quelques exemples du quotidien, les questionnements qu’ils se doivent de résoudre.  
Que dire, que faire, lorsqu’un protégé vous annonce, lors de votre visite, qu’il ou elle est malmené par un soignant? C’est à ce moment que votre travail d’enquêteur impartial commence, à vous de questionner, identifier, le contexte et la véracité des faits. Sans accuser, il vous faut analyser la raison des accusations, interroger (discrètement) les voisinages, les autres intervenants. Il vous reste encore la décision (dénoncer ou laisser en attente votre vigilance) dans l’espoir secret de la fin des récriminations.
Il est très anxiogène de décider d’une réponse adéquate, vous devez tenir compte de la personnalité du plaignant, ses pathologies éventuelles, les pressions psychologiques possibles après les faits s’ils sont avérés, le contexte de lieu et de circonstance est important dans la décision.  
Que dire de l’impossibilité de joindre un service médical afin de vérifier rapidement une alerte constatée de visu? Avec le manque de médecins, surtout dans les campagnes reculées de notre territoire, c’est une galère très prenante, afin de trouver réponse, action rapide, écoute surtout. Les soignants sont eux aussi, parfois, mais pas toujours cependant, en situation de stress par manque de personnel, la faute au (quoiqu’il en coûte détourné).
En effet, que faire si vous constatez la non distribution dans les règles de l’art des médicaments, des soins, les toilettes expéditives, l’abandon prolongé dans leurs chambres des patients âgés restés sans attention ou visite fréquente des équipes en chargées de leur bien-être. Déjà que les aidants reconnus par l’Administration ne peuvent se faire entendre facilement, je vous laisse imaginer les difficultés pour les familles des hébergés en EHPAD pour se faire écouter et comprendre. Il est vrai que les solutions onéreuses d’hébergement en établissement pour personnes âgées sont une alternative crédible afin de soulager les familles d’où la crainte, en cas de questionnements répétés, de perdre ce droit d’hébergement.
Que dire aussi des fratries attentistes, souvent inactives, observatrices zélées mais, très critiques des actions du pauvre aidant ? Volontaire ou désigné qu’il effectue sa fonction avec assiduité et abnégation sans compter ses heures, ses trajets, sa présence fréquente et régulière, trop souvent il se trouve vilipendé et victime de quolibets désobligeants. J’ai souvenance d’un cas récent, lors d’une trop longue panne de chauffage central dans un établissement de ma région. En réponse, la fratrie distante très compréhensive!!! adresse un courrier incendiaire (Mais, que fait la tutrice?) de quoi motiver les aidants.  
Que dire des nombreuses tâches et obligations administratives, gestion des finances, des placements et des paiements, suivi des mutuelles, supervision des soins, sans oublier la protection, l’entretien et la sécurité des biens des personnes sous mandat, les rendez-vous médicaux et dentaires, etc. Je suis certain que bien des lecteurs pas encore concernés par mon billet ne s’imaginent  la somme de dossiers et paperasses nécessaire afin d’archiver et répondre à toute réquisition des autorités ou des affiliés. Je vous certifie que, parfois, c’est une prise de tête à tout abandonner. Heureusement, les aidants pas aidés ont conscience de la nécessité de leurs actions et ils les font, parfois pour la gloire simplement, il faut le souligner.
Si vous me faites l’honneur de lire le présent feuillet dans son intégralité, je vous demande donc de bien vouloir, à l’avenir, avoir une pensée reconnaissante et compatissante lors de vos prochaines rencontres ou discussions avec ces aidants pas aidés.
N’oubliez pas qu’il se pourrait, qu’un jour, vous soyez concernés (je ne vous le souhaite pas) pour vous-même ou l’un de vos proches par de tels questionnements.

Ceci est mon humble avis, Père JASSE.
 
 


vendredi 6 septembre 2024

Ministre Premier

 Enfin, ouf! nous avons un Premier Ministre.
Il était temps qu'un pilote prenne les commandes de l'avion France.
Nul doute, après l'euphorie de la nouveauté, que les sans dent vont déguster, comme de tout temps, ils seront les premiers à souffrir du quoiqu'il en coûte à financer en urgence.
Bon courage pour la suite, suite qui ne saurait tarder sauf retournement de dernière minute, en 2025.
C’est ce que j’en pense .
Père JASSE.



 

dimanche 1 septembre 2024

Père JASSE - Galère Routière


 Alors que Monsieur Tableur procrastine, sans doute, accablé par sa décision d’enfant gâté à l’ego démesuré.
Monsieur tarde à nommer ministre, pendant ce temps, sans personnes aux manettes, la
gabegie des dépenses routières continue de plus belle.
Avez-vous oublié le coup des 80 km/h, les panneaux détruits puis remplacés avant de repasser aux 90, heureusement, certaines structures avaient conservé lesdits panneaux.
Les quasi-obligations de rouler à terme en électrique, les pneus neige obligatoires à nous tous, afin que les citadins puissent partir bien loin glisser aux flancs de nos montagnes bientôt sans neige. Les obligations de gérer les services administratifs depuis Internet, bientôt les paiements virtuels, comment font les fragiles seniors peu habitués aux affres d’Internet ?
Émulés par le quoi qu’il en coûte, nos stratèges locaux et territoriaux continuent de dépenser. Dans ma rue (mes premières photos datent de l’époque de la (COVID), voilà des années que des travaux sont en cours entre le remplacement des tuyaux d’eau, le passage des fibres, la pose de lampadaires restants éteins en cours de nuit, les purges de nettoyage interminables, la circulation difficile, la fermeture des commerces impactés.
Voilà que ces derniers jours ma rue est à nouveau raclée, grattée y compris les trottoirs, me reste à espérer qu’il s’agit de la pose d’un revêtement définitif.
Ma Boulangerie préférée, elle est fermée depuis une année à cause des travaux contraignant la clientèle. J’ai vu ce jeune couple aider à charger les machines reprises par le fournisseur, ce jour, mon cœur a serré très fort, de tristesse, de rage.
Dans ma ville, le tram (sur pneus) n’a plus la côte, il sera remplacé par une flotte de bus (promis en électrique, Hydrogène ou autre) encore un effet du quoiqu’il en coûte.
Je déplore aussi l’abondance de voies cyclables réalisées à grands frais (chez nous, elles sont belles, bien dans les normes) hélas, sont peu utilisées au prétexte que certains cycles, sur les portions de terre compactée, dégradent trop vite les pneumatiques . Alors, les automobilistes doivent jongler entre ces vélos, les trottinettes sur les voies devenues trop étroites.
Pour l’heure, je suis à attendre la nomination du premier de nos ministres.
C’est ce que j’en pense .


 

Père JASSE.

vendredi 30 mars 2018

Père JASSE - REVENANT !

Depuis quelques mois déjà, je suis un observateur obligé, mais, néanmoins attentif de la turpitude du genre humain. Oublié l’épisode récent du miroir, pourtant, à nouveaux, un chapitre semble se construire, comme une suite obligée .

Récemment, une détonation me réveille, comme précédemment, une douleur intense irradie mon cou, très fatigué, j’ai l’impression de flotter sur un nuage aux senteurs délicates, sans doute du lilas avec une note de muguet aussi.
Une bouche difforme monochrome et floue est incrustée au milieu du miroir que je suis à connaître, elle s’anime. Je distingue le mouvement des lèvres, le discours me semble plus calme que la précédente fois.
Toujours cette voix d’outre tombe, impressionnante dans son intonation ganguoresque.
Je suis le miroir du temps qui passe, je me trouve si loin, mais je veille sur toi et les tiens me dit-elle !
Tu diras à qui tu sais ceci : Qu’impressionné par ses actions, sans cesse contrariées, ses incertitudes et doutes, ces motivations mises à mal, son abnégation bousculée parfois. j’ai décidé de forcer le destin, très bientôt ses actions seront facilitées, ses contraintes atténuées.
N’oublie pas ma malédiction, laisse moi où je suis, j’ai vu tant de vilaines choses que je mérite le repos éternel.
Cette fois, je suis épuisé, incapable de me lever, c’est au matin que je constate un gros hématome au cou, le fameux impact de bille de chasse. 

Depuis quelques jours, la trace n’est plus. Alors me reste l’incertitude d’un cauchemar ou la continuation d’une prédiction !