lundi 28 février 2011

Père JASSE - Les quatre questions de PJ

Au vu des événements de ces derniers jours, dans ce Proche-Orient toujours aussi instable.
Il me semble urgent de répondre très vite à ces quelques interrogations.
Compte tenu que l'Europe et, par le fait, la France, vont subir un afflux massif de réfugiés en provenance de Tunisie, de Libye aussi.
Compte tenu que ce chambardement des flux migratoires va engendrer des coûts non négligeables pour nos sociétés.
Compte tenu que notre influence, je suis même tenté de dire: Notre crédibilité Politique et Militaire reste bien fragile, surtout en ce moment.
Constatant que ces afflux massifs vont perdurer plusieurs années et, affecter notre économie, notre tissus social.
Je pose donc les questions suivantes:
Les faits actuels donnent-ils aux Européens le droit, ou, une quelconque priorité concernant la gestions des ressources, les actifs miniers de ces pays en crise?
Que vont devenir à terme, les activités minières ou pétrolières laissées en sommeil, sans gestion rigoureuse?
Quelle nation hégémonique va faire main basse sur ces ressources et, faut-il que les Européens laissent s'accomplir cette opération probablement inévitable, annoncée, sans doute programmée?
Pensez-vous que cette main mise soit possiblement inéluctable sans heurts?

C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
Père JASSE.

dimanche 27 février 2011

Pere JASSE - Protectionnisme.

Bonjour,
Nous savions bien que le marché du siècle ne pouvait revenir aux Européens.
Alors, ne pleurons point, avisons.
Ce qui est regrettable dans cette affaire politique navrante, c'est la perte de temps, la mobilisation pendant des mois, d'équipes entières pour rien.
Pourtant, cette parodie de libre commerce international ne semble pas inquiéter les responsables des entreprises concernées.
Pour preuve, la tentative récente de donner, quasiment, l’accès pour l'euro symbolique à un radar de quatrième génération, voire de cinquième, qui peut savoir?
Tout cela pour vendre notre merveilleux Rafale©, là aussi, ne nous leurrons pas, nous n'aurons pas le marché.
De toutes ces péripéties, nous devons retenir une seule chose, c'est qu'un petit Pays ne peut imposer sa loi technologique, même si le produit est bon, sur un marché aussi protégé que celui de l'aéronautique militaire.
Alors, conservons notre bon Rafale© comme un produit haut de gamme, améliorons-le, gardons-nous de divulguer les derniers secrets de fabrication de celui-ci.
Un jour, peut-être, certains regretteront leurs décisions, devant les exploits dans les airs de celui-ci.
C'est ce que j'en pense!

Père JASSE.