lundi 6 février 2012

Père JASSE - Avis aux Candidats!


En cette année bien avancée déjà, bien que très occupé par mes multiples activités, je souhaite donner mes avis concernant les actualités du moment.
Tout d'abord, une pensée toute particulière aux enfants de (FUKU), obligés d'aller à l'école avec mille précautions, dans la poche, un compteur Geiger©. Contraints de comptabiliser au quotidien les doses de radiations reçues par leur corps d'ados.
Tout cela à cause d'une gestion déplorable et surtout tardive de ces graves accidents nucléaires qui resterons cas d'école.
Cette gestion calamiteuse va durablement mettre au ralenti l'industrie Nucléaire Française et Mondiale.
Pourtant, cette production me semble indispensable à notre pays.
En cette période électorale où la mode est au produire Français, ce leitmotiv sur toutes les lèvres. Je reste effaré de constater que : Ceux qui souhaitent alléger le programme Nucléaire de notre nation; Et bien, ce faisant, ils vont creuser la tombe de nos industries rescapées encore vivantes, performantes, certaines de pointe, en voici ma démonstration.
Lorsque vous entrez dans un aéronef, qu'il soit de transport ou de chasse, qu'il soit de Airbus©, Boeing©, Dassault©,ATR© et bien d'autres. Sachez que de nombreux éléments stratégiques de (Cellule, moteur, turbine, train, support nacelle et voilure, frein, pompe, hydraulique) et indispensables à l'assemblage final proviennent de France.
Les Combrailles en Auvergne fournissent la presque quasi totalité des matériaux technologiques de base (alliages réfractaires, composés frittés, alliages inoxydables,  Titane et d'autres encore plus techniques).
Certaines de ces productions sont ébauchées, laminées et forgées sur place avant livraison dans le monde entier, aux constructeurs qui en assurent la finition et le montage.
En parlant de mes Combrailles, je pense en particulier, sans être exhaustif à cette usine AD que j'aime, celle qui fait vivre depuis l'après guerre un grand bassin. Je reste fier d'avoir, un temps, participé par mon expertise à l’essor de celle-ci.
Mais, hélas, il est terminé le temps, où à 20 heures, sur un simple appel du chef de four, le veilleur de nuit du barrage des Fades. Dans les minutes qui suivaient lançait toute la puissance des turbines, pour, alimenter en énergie électrique l’Aciérie et ces fours (déjà électriques) nécessitant des dizaines de Kilovolts.
Parfois, la lumière vacillait chez le particulier mais, production oblige, l'inconvénient était accepté par les populations.
C'est ce que j'en pense ! Et vous ?
Père JASSE.
La suite prochainement.




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